
Votre landing page attire du monde… mais ça ne clique pas ? Pas de panique. Pour transformer vos visiteurs en clients, il suffit parfois d’une bonne accroche, d’une structure claire et de quelques ajustements bien placés.
Dans cet article, on vous partage des exemples de landing pages réussies, les erreurs à éviter, les bonnes pratiques de création, et des conseils concrets pour augmenter votre taux de conversion. Que vous proposiez un service, un produit, ou un contenu à télécharger, vous aurez toutes les clés pour créer une page de destination intuitive, alignée sur vos objectifs, et adaptée à vos personas.
C’est parti !


Une landing page (ou page d’atterrissage/page de renvoi) n’est ni une homepage ni une fiche produit. C’est une page dédiée qui va droit au but : déclencher une action CTA (inscription, achat, téléchargement). Un seul objectif principal, zéro distraction, et une structure pensée pour la prise de décision rapide.
Une landing page est une page web conçue pour faire cliquer sur un lien ou le bouton CTA (ex. : télécharger un guide, demander une démo, acheter).
Elle se distingue de :
👉 Types de pages de destination :
La force d’une landing page performante repose sur la clarté de son objectif. Chaque élément – titre, image, bouton, paragraphe – doit pousser le visiteur vers une seule action définie :
Et c’est tout.
Place le CTA au-dessus de la ligne de flottaison et rappelle-le en bas de page.Plusieurs objectifs = confusion = moins de conversions. Gardez en tête ce principe fondamental du tunnel de conversion : chaque page a un rôle bien défini. La landing page, elle, transforme l’intérêt en action.
Dans un funnel marketing, la landing page arrive juste après l’acquisition (pub, SEO, email) et juste avant la conversion. Elle capte l’attention (bon ciblage), rassure (preuves), puis pousse à l’action via un CTA bien placé.
Exemple : vous faites une pub Meta pour un e-book ? Votre landing ne parle pas de vous. Elle vend l’e-book. Un point c’est tout.
Une landing page (page d’atterrissage / page de renvoi) efficace, c’est une page dédiée qui va droit au but : une action CTA et rien d’autre. Pense public cible, prise de décision rapide, et structure claire. Ces meilleures pratiques s’appliquent à tous les types de landing (transactionnelle, squeeze page, lead capture page).
Votre titre est votre première (et parfois seule) chance d'accrocher le visiteur. Il doit immédiatement exprimer un bénéfice clair, créer de l’intérêt, et refléter l’unicité de votre offre.
La méthode des 4U (Useful, Urgent, Unique, Ultra-spécifique) est redoutable :
Le CTA (bouton d’action) est le moteur de conversion de votre page. Il doit être :
Évitez les formules génériques du type « En savoir plus ». Soyez précis, engageant, et surtout… donnez envie.
Le design ne doit jamais voler la vedette au contenu. Il doit :
Un bon design, c’est celui qui met votre CTA au bon endroit, au bon moment.
Avant de cliquer, votre visiteur a besoin d’être rassuré. Pour ça, rien de mieux que :
Ce qu’on appelle la preuve sociale est un levier très puissant pour lever les dernières objections.
C’est non négociable : votre landing page doit être optimisée mobile. Plus de la moitié des visiteurs arrivent sur smartphone. Et s’il faut plus de 3 secondes pour charger, ils partent.
À faire :
Une landing page performante, c’est aussi une landing page rapide.
Les visiteurs ne s’intéressent pas à ce que fait votre produit, mais à ce qu’il peut changer pour eux. C’est la règle n°1 du bon copywriting.
Au lieu de :
« Notre logiciel gère vos campagnes emailing multicanal »
Préférez :
« Gagnez 5h par semaine en automatisant vos campagnes emailing »
Pensez toujours en termes de gains, de soulagements ou de transformation pour votre cible.
🪄 Formule magique : fonctionnalité + bénéfice + preuve = impact maximum.
Impossible d’optimiser ce qu’on ne mesure pas. L’A/B testing consiste à comparer deux versions d’un même élément pour voir ce qui convertit le mieux. À tester en priorité :
Ne testez qu’un seul élément à la fois pour des résultats fiables. Et pour ça, on vous recommande comme outils VWO, AB Tasty ou Convert. VWO ont d’ailleurs fait un super article (en anglais) à ce propos : https://vwo.com/ab-testing/
Parfois, vos visiteurs ne lisent pas ce que vous croyez. Les heatmaps (cartes de chaleur) et scrollmaps vous montrent :
En outils utiles, on part sur Hotjar, Clarity ou Smartlook.
Un visiteur qui vous découvre n’a pas les mêmes attentes qu’un prospect chaud. Une landing page performante peut donc :
Plus la page semble parler directement à l’utilisateur, plus les chances de conversion augmentent.
Avant même de lancer des campagnes, montrez votre landing page à 3 ou 4 personnes non impliquées dans le projet. Demandez-leur :
Vous aurez parfois plus d’insights qu’avec 10 heures d’analytics.
Plus vous demandez d’infos, plus vous risquez de perdre votre visiteur en chemin.
Un formulaire de landing page doit aller à l’essentiel. En général :
Surtout, ne demandez jamais des infos qui ne servent à rien pour la suite. Si vous avez besoin de plus de données, utilisez un formulaire en deux étapes. Le premier écran sert à qualifier, le deuxième à compléter.
Votre landing page n’est pas une page web classique. C’est une page avec un objectif unique. Chaque lien externe ou chaque menu est une porte de sortie.
Évitez :
Moins il y a de chemins possibles, plus le visiteur reste sur le seul chemin qui compte : celui de la conversion.
Un grand classique : la publicité annonce une chose, la page en livre une autre. Résultat ? Perte de confiance immédiate, taux de rebond en flèche.
Exemples fréquents :
La cohérence entre la source de trafic (pub, email, lien) et la landing page est fondamentale. Gardez la même promesse, le même ton, et si possible le même visuel.
Un internaute remplit le formulaire… et la page se ferme ? Grosse perte d’opportunité.
La thank you page (ou page de remerciement) est essentielle pour :
Sans suivi clair, vous risquez de perdre à la fois votre visiteur… et vos données.
Vous partez de zéro ? Ces outils vous permettent de créer une page d’atterrissage complète sans coder, avec des blocs prêts à l’emploi, des modèles optimisés pour la conversion et des intégrations simples :
Ces plateformes intègrent souvent l’A/B testing, le responsive design automatique et les analytics de base.
Si vous préférez travailler votre design avant de passer à l’intégration, ou collaborer avec un graphiste, voici des ressources idéales :
De nombreux templates optimisés pour la conversion sont disponibles gratuitement ou à petit prix.
Pour suivre vos conversions, automatiser vos actions marketing, et mieux comprendre le comportement des visiteurs :
Privilégiez les outils compatibles avec votre CRM pour récupérer automatiquement les leads et suivre leur maturation.
La landing page d’Airbnb joue sur l’expérience utilisateur avant tout. Dès l’arrivée :
Ce qui marche : pas de friction, une promesse claire, et une interaction possible en moins de 2 secondes.

Dropbox pousse le “less is more” à l’extrême : fond blanc, peu de texte, un seul bouton. Tout est centré sur le bénéfice utilisateur :
“Trouvez tout ce que vous cherchez. Protégez tous vos contenus.”
Le CTA est limpide : “Essayer gratuitement”. Pas de superflu.
Ce qui marche : focus total sur l’action, confort visuel, message limpide.

Shopify utilise une microcopy chirurgicale :
Chaque mot est là pour lever une objection.
Ce qui marche : copywriting de confiance, preuve sociale, et structure pensée conversion.

Sur desktop comme sur mobile, la landing page de Notion est :
Ce qui marche : expérience fluide, design au service du contenu, et position stratégique des boutons d’action.

Ces exemples montrent qu’il n’y a pas une seule recette magique, mais des principes communs :
Inspirez-vous de ces pages pour construire la vôtre, mais surtout : adaptez-les à votre cible, votre offre, et votre canal d’acquisition.
📌 Les 7 règles d’or à retenir :
🎯 Prêt à passer à l’action ?
- Landing page : page dédiée à une action spécifique, reliée à une campagne marketing. - Page produit : détaille un produit ou service. - Homepage : entrée du site internet, plusieurs parcours. Une landing page ou page n’est pas un mini-site : c’est un tunnel court.
Une landing page réussie (ou page de destination / page de renvoi) est une page dédiée d’un site web qui pousse l’internaute vers une action CTA (télécharger, s’inscrire, acheter). Objectif principal clair, contenu court, droit au but, et taux de conversion mesurable.
- Landing page transactionnelle : vise l’achat immédiat. - Squeeze page / lead capture page : génération de leads (email, prénom). - Page d’inscription : webinaire, démo, essai. - Page de renvoi SEO : capte un public cible via moteurs de recherche.
- Titre accrocheur + proposition de valeur au-dessus de la ligne de flottaison - Bouton CTA clair (verbe d’action), visible en haut et rappelé en bas de page - Preuve sociale (logos, avis, chiffres) - Sections courtes, mise en page lisible, responsive - Vitesse de chargement optimisée
- Au-dessus de la ligne de flottaison (visible sans scroller) - Après un bloc bénéfices et preuve sociale - Un rappel en bas de page pour capter les lecteurs qui comparent
- Définissez le persona (besoin, douleur, usage). - Alignez message + visuel + offre avec la campagne marketing (Google Ads, réseaux sociaux). - Adaptez la page selon la source (social vs search) et le type de landing.
- Taux de conversion, CTR du bouton CTA, scroll, taux de rebond - Temps de vitesse de chargement (web vitals) - Événements “cliqué sur un lien” et “remplir le formulaire” via Google Tag Manager - Tests A/B pour titre, sections, CTA
- Définition du mot-clé principal + variantes (ex : *créer une landing page*, *optimiser une landing page*) - Balise title + meta description optimisées - H1 clair, sections structurées, liens internes pertinents - Vitesse de chargement et qualité du contenu (répondre au besoin de l’internaute)
- Builder no-code (Unbounce, GetLandy, Webflow) → rapide pour créer des landing et itérer. - Modifier le code (dev) → idéal pour performance, personnalisé et intégrations avancées. 👉 Choisissez selon temps, budget et besoin d’optimisation fine.
- Rédigez des contenus clairs, orientés bénéfices - Testez vos pages avec un outil de création de landing pages (comme GetLandy ou Unbounce) - Suivez les performances avec des outils d’A/B testing, des heatmaps, ou des dashboards analytics - Intégrez-la dans une stratégie inbound marketing : acquisition via réseaux sociaux, email, publicité en ligne...
Oui, si cela sert votre objectif de conversion, si ça rassure et aide la prise de décision : - Court (2–4 champs) pour maximiser la génération de leads. - Option : numéro de téléphone en complément (B2B, RDV). - Squeeze page : minimaliste (email only) pour capter un grand nombre.
Parmi les meilleurs outils de création de landing pages en 2025 : - Unbounce - GetLandy - Webflow - Trello (pour le brief ou la structure) - Hootsuite (pour diffuser via les réseaux sociaux) Ces solutions facilitent la mise en page, la personnalisation, et le suivi du taux de rebond ou des conversions.
Une page lente tue la conversion. - Compresser les images, éviter les scripts lourds, héberger les vidéos ailleurs. - Impact direct sur taux de rebond et SEO moteurs de recherche.
Oui. Elle confirme l’action, propose “quelque chose” (bonus à télécharger, RDV), et permet le tracking (retargeting, marketing digital / marketing automation).
- Vérifiez : ciblage (public cible), promesse, CTA, mise en page, vitesse. - Analysez les heatmaps / scrollmaps et événements “cliqué sur un lien”. - A/B testing : testez 1 variable à la fois (titre, section, bouton).
- 1 type de landing = 1 objectif de conversion - Dupliquez le layout gagnant, changez accroche et offre par campagne marketing - Maintenez une cohérence annonce → page d’atterrissage (message, visuel, CTA)